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D’après une étude de l’IEIF, actions et foncières cotées ont été les plus dynamiques, mais au prix d’une forte volatilité. A l’inverse, l’investissement dans des logements est apparu plus équilibré.

Les foncières cotées ont été un placement gagnant au cours des 20 dernières années. Dans son étude annuelle sur les actifs, l’Institut de l’Epargne Immobilière et Financière (IEIF) estime qu’elles ont dégagé une rentabilité annuelle moyenne de 15,3% sur la période.

Un bilan à nuancer

Ce score classe les foncières au premier rang des actifs, loin devant les actions (9,6%). Une hiérarchie que l’on retrouve aussi sur 10 ans et 15 ans, les actions ne reprenant la main que sur très longue période (30 et 40 ans) ou depuis 5 ans.

La médaille a toutefois un revers. Ces performances ont été réalisées avec une volatilité record (23,3%), là encore bien supérieure à celle des autres classes d’actifs. Autrement dit, en investissant dans des foncières cotées, l’épargnant n’est pas à l’abri de violentes secousses sur de courtes périodes.

Tir groupé de l’immobilier

Quelles sont dans ces conditions les actifs qui ont affiché un couple rendement/risque plus équilibré ? Sans surprise, la réponse n’est pas à chercher du côté des actions. Leur volatilité (22,5%) a été proche de celle des foncières. L’évolution de l’or a elle aussi été très chaotique sur la période (15,5% de volatilité).

A la lecture de l’étude de l’IEIF, c’est surtout l’immobilier qui a tiré son épingle du jeu au cours des 20 dernières années avec un peu plus de 10% de rentabilité et une volatilité contenue autour de 7% pour les logements (en France ou à Paris). Les bureaux ont quant à eux généré 9% de TRI mais avec une volatilité encore plus faible (5,9%). Des chiffres proches de ceux des SCPI (9,3% de performance pour 4,6% de volatilité).

Obligations et assurance-vie peu volatiles

Bien entendu, certains actifs ont affiché des volatilités encore plus faibles. C’est le cas de l’assurance-vie (1,2%) ou de l’obligataire (3,1%). Mais leurs performances sont ressorties un ton en dessous : 3,8% pour l’assurance-vie et 3,7% pour l’obligataire.

L’IEIF en profite d’ailleurs pour rappeler que c’est grâce à sa diversification (61% de logement, 15% d’assurance-vie, 13% de monétaire et 11% d’actions) que le patrimoine des ménages s’est apprécié de 477% en 20 ans. Car sur la période l’assurance-vie n’a par exemple progressé que de 210%.

 

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